
– Non, mais vous avez vu ? – M’en parle pas, j’ai cru rêver !– Ah ! Toi aussi ! Non, mais sans rire, écrire un livre en 7 jours et avoir le culot de le publier, fallait oser !Oups… … Lire la suite
– Non, mais vous avez vu ? – M’en parle pas, j’ai cru rêver !– Ah ! Toi aussi ! Non, mais sans rire, écrire un livre en 7 jours et avoir le culot de le publier, fallait oser !Oups… … Lire la suite
Faut-il vraiment que je me plie à la tradition januaire (si, ça pourrait se dire, si !) et trouver un défi pour l’année qui vient ? N’en propose-t-elle pas déjà suffisamment à relever sans que je ne m’en inflige un de plus ? Et puis, d’abord, d’où vient-elle, cette intrusive tradition ? Lire la suite
Qu’est-ce qui m’a pris ? Je ne sais pas trop. Je devais m’ennuyer entre la fin du NaNoWriMo, l’écriture d’une nouvelle de 26 pages pour mes tipeurs dans un genre inédit pour moi, ma formation d’auto-entrepreneure, ma remise à plat … Lire la suite
Je vous l’avais annoncé dans ma newsletter du 19 juillet, mes vacances ont été studieuses. Ce n’est pas pour autant que je n’ai pas bougé, ni visité quelques lieux, ou encore mangé des glaces, mais j’ai aussi beaucoup travaillé (du … Lire la suite
Du plus loin que je me souvienne, il y a deux activités que j’ai toujours pratiquées : l’écriture et l’enseignement.
Pour la première activité, j’ai gardé comme témoins silencieux (et mis sous clefs !) une série de carnets intimes noircis (ou bleuis, voir « turquoisis » lorsque j’étais ado) et qui renferment à la fois mon goût pour l’écriture mais aussi mes premières nouvelles (ne rêvez pas, ja-mais vous ne lirez ces horreurs !). Cependant, ces carnets sont la preuve que la narration fait partie de moi depuis toujours. Dans le même registre, je ne me souviens ni d’avoir appris à lire ni d’avoir appris à écrire avant d’avoir écrit dans ces carnets. Enfin, ils sont aussi l’annonce que le bullet journaling allait forcément me plaire !
Pour la seconde activité, j’ai commencé très tôt à dispenser des cours chez moi, à de petits groupes d’élèves plutôt dociles, mais que je tançais sévèrement s’ils ne travaillaient pas assez… Fort heureusement, ils ne m’en ont jamais tenu rigueur et acceptaient de redevenir de simples doudous le soir au moment d’aller se coucher ! Il était assez évident que l’enseignement allait me convenir, même si, au final, j’ai assez longtemps hésité à prendre cette route.
Les années d’adulte ont filé. Comme pour tout le monde. Un amoureux, un enfant, un mari (l’amoureux !), une maison, un second enfant, un boulot hyper prenant avec plein d’autres enfants… La vie, quoi ! Mais, toujours, ce besoin d’écrire. Pour moi, pour mes enfants, mes amis, ma famille… Puis, depuis 2008, pour vous.
Je n’avais jamais cru possible d’être éditée. Pour moi, c’était pour les autres, pas pour moi. Heureusement, ma route croise celle de Michel Champendal, éditeur, qui n’est pas de cet avis. De là, des années de folies s’enchaînent. 12 au total. 9 qui m’apportent des milliers de ventes, un prix au salon du livre de Paris, un Top 1 Amazon en polar.
Puis, c’est le trou, le trou noir… Durant près de 3 ans. Non, il ne m’est rien arrivé de grave (du moins, rien d’exceptionnel dans une vie). Ma famille vit quelques heures difficiles et je prends un poste de directrice d’école qui, comme chacun le sait, est hyper chronophage. Presque plus le temps d’écrire. Si je sors tout de même mon premier album jeunesse, La Fée Cassatette, c’est surtout parce que le texte était déjà écrit. Quant à ma série TRANS, c’est grâce à mon fils qui m’a boostée durant des mois que je l’ai bouclée. Mais le lancement est merdique (il faut savoir reconnaître quand on se plante !) et la série ne rencontre pas son public. Je comprends alors que je vais devoir faire un choix.
Je ne regrette pas d’avoir été directrice d’école : ce job m’a permis de mettre en valeur certaines de mes compétences intrinsèques et d’en développer de nouvelles. Comme toutes les expériences de ma vie, j’en tire le positif et laisse de côté ce qui ne me fait pas avancer.
Je suis intimement persuadée que tous les choix que j’ai faits ces dernières années, toutes ces épreuves que j’ai traversées avec ma famille, n’étaient faits que pour me conduire ici, aujourd’hui. Je suis sur le point de saisir une nouvelle opportunité, avec une joie immense. Je sens qu’il est temps pour moi de me lancer pleinement dans mon métier passion. Et d’en explorer toutes les facettes car je sais que je ne suis pas faite pour une seule activité littéraire. Sans parler du fait que, lorsqu’on est enseignant dans l’âme, on ne peut pas s’arrêter d’apprendre et d’enseigner aussi !
Alors, je me lance. Je largue les amarres. Je déménage et deviens mon propre patron, complètement. J’ai adoré être auteure pendant 12 ans, sur mon temps libre. À présent, je serai une auteure à plein temps.
Alors, si vous avez envie de suivre cette nouvelle aventure de près et découvrir ses coulisses, vous avez deux clics à faire :
Et si vous vous demandez à quoi ressemble une semaine dans la peau d’une auteure, il vous faudra attendre le prochain article !
Le journal de L. bien sûr ! Avant de partir en vacances, toute l’équipe de Mots et cris a préparé un Service Presse pour mettre en avant Le journal de L. qui a été primé en mars dernier au Salon … Lire la suite
Allez, un petit bilan mensuel… Les deux derniers, ceux de mars et avril, étaient plutôt longs à lire. Mais je découvrais le monde de KDP et m’étonnais de beaucoup de choses concernant son fonctionnement. Je voyais mes livres se vendre, … Lire la suite
Mes amis, c’est avec un certain émoi que j’ai à vous annoncer une excellente (et étonnante !) nouvelle : ce week-end, nous avons dépassé les 1 000 ventes d’ebooks sur Amazon pour Le journal de L. et L’arbre de Johanne. … Lire la suite
Je refais un billet pour vous parler de Kindle Direct Publishing puisque le premier vous a plut. Ce mois-ci, j’ai deux livres en vente numérique sur Amazon Lundi 30 mars (J1) : Voilà plus d’une semaine que je me dis … Lire la suite
Entrer au Salon du Livre
Faut bien dire ce qui est : pour entrer au Salon du Livre, il faut faire preuve d’une certaine dose de volonté. Déjà, il faut demander l’autorisation à son supérieur parce que bon, on ne reçoit pas un prix tous les quatre matins, mais je laisse ma classe quand même… Ensuite, il faut accepter que le SDL n’ait pas envie de vous ouvrir ses portes mais avoir une bonne excuse pour y rentrer gratis quand même ; et enfin, il faut s’accrocher à son volant et serrer les fesses pendant plus d’une heure de route parmi les habitués du périph’ parisien… Au secours ! Il faut dire, qu’avec ma malle de dédicaces, pas moyen de prendre les transports en commun.
Et puis, dernier obstacle : il y avait l’éclipse. Grrrr… J’allais louper toute une matinée de sciences organisée à l’école autour de ce bel événement… ou pas ! Finalement, la paire de lunettes spéciale éclipse est restée planquée au fond de mon sac comme le soleil derrière ses nuages. Pas cool, les nuages, sur ce coup-là !
Retrouver la Dream Team
Une fois rentrée dans le saint des saints, c’est avec une malle d’une vingtaine de kilos que je slalome parmi tous les badauds pour retrouver ma Dream Team. Sabine, Ingrid, Sophie… toutes doivent bien être quelque part ! Évidemment, dans un immense salon, c’est toujours à l’opposé de l’endroit où vous êtes rentré que vos amis vous attendent… Grrrrrr bis… Je croise Sabine, prends à peine le temps de l’embrasser, me rue vers la porte d’en face… Bon, finalement, nous voilà tous réunis dans les allées du salon, à l’exception de Sophie qui doit faire des expériences autour de l’éclipse avec nos élèves… ou pas ! 😉
Oui, je fais une tête bizarre parce que j’arrivais pas à cliquer où il fallait pour prendre ce fichu selfie !! :p
Puis, nous arrivons tous sur le stand de The Book Edition. Là, franchement, chapeau : l’endroit est superbe ! Et l’emplacement pour dédicacer me plaît beaucoup. La bonne nouvelle, c’est qu’on a une petite heure et demie devant nous avant de devoir être présents pour la remise des prix. Hé hé ! J’ai bien fait d’arriver de bonne heure : Salon du Livre, me voilà !
Bon, en si peu de temps, je n’ai pas pu voir grand-chose, et c’est la grosse frustration du moment… Mais bon, je devrais tout de même vivre un moment exceptionnel durant ce salon… Alors, je pars le cœur léger vers :
Remise du prix
Bon ça y est, on est dans la partie officielle de ma présence au Salon. Les trophées sont déballés et… Quoi ? Des trophées ? Naaaan, sans rire ! Des impressions en 3D avec la couverture de mon roman dessus : c’est juste énorme ! J’adooooore ! Oups, heu… Là, faut que je remercie… Faut que je parle…. Ouh la la, et puis y’a ma p’tite belle-maman qui verse une larme, eh beh ! Bon, allez, je me lance pour les remerciements et aussi un petit clin d’œil à ma Dream Team qui entoure si bien son écriveronne.
Bon ça y est ? J’ai fini de parler ? Cool ! Ah ? Heu… Des photos… Bon, ok, si vous insistez… On va faire ça en mode pro…
Bon, et puis les photos, ça ne sert pas qu’à faire des trucs officiels, surtout avec un décor pareil !
Je vous présente Élodie, ma super « imprimeuse », qui a pris l’avion avec Pauline pour venir me voir ! (ok ok, j’étais pas la seule qu’elles venaient voir !) 😉
Dédicace
Allez, c’est le moment de passer aux choses moins sérieuses : la séance de dédicace ! C’est aussi le moment où on fils s’emballe un peu : « Ouais ! Maman, c’est trop bien, y’a plein de monde, tu vas vendre des milliers de livres ! ». Heu… Comment lui expliquer que cela ne va pas être comme ça sans briser ses rêves d’enfant ? « Alors, mon p’tit chéri, ça ne va pas être possible car maman n’a emmené que quelques dizaines de livres avec elle… » Évidemment, je ne lui explique pas que les ventes sur un Salon du Livre pour un auteur indépendant sont inversement proportionnelles à la taille du Salon ! 😉 « Allez, mon p’tit loup, va donc distribuer des flyers…! »
Les gens s’arrêtent un peu, pour découvrir les romans, et heureusement les amis passent aussi ! Merci John Erich Nielsen, Claire Roig, Élodie Dartois et Pauline Guillou, Sophie, Nicolas Feuze et sa charmante épouse pour avoir fait en sorte que l’aprem passe aussi vite
Bon, allez, 19 heures, on remballe et à l’année prochaine ! Il me reste un seule petite déception : ne pas avoir pu visiter tout le salon en tant que simple visiteuse.
Ah, et pendant que j’y pense : merci mon Amour d’être venu chercher la petite famille… pour que je puisse filer au resto avec des amis auteurs ! ^^
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