
Écrire un livre en 7 jours, voici le défi que mon fils m’a lancé et que j’ai osé relever.
Ai-je réussi ? Qu’est-ce que j’ai appris durant cette semaine créative ? Certainement bien plus qu’en 12 ans de publications … Lire la suite
Écrire un livre en 7 jours, voici le défi que mon fils m’a lancé et que j’ai osé relever.
Ai-je réussi ? Qu’est-ce que j’ai appris durant cette semaine créative ? Certainement bien plus qu’en 12 ans de publications … Lire la suite
Ulule c’est une plateforme participative. Vous voilà bien avancés, hein ? Pour ma part, j’ai découvert Ulule il y a quelques mois, via la page Facebook d’un groupe de musique que je suis. D’ailleurs, si vous voulez découvrir Les Bachibousouk, cliquez ! Bref, il y a quelques mois, ce petit groupe sympathique a fait appel à ses fans pour les aider à financer leur nouvel album. Pour cela, ils avaient besoin de 4500€ et en ont récolté 5025 ! Un beau succès.
J’ai trouvé la démarche très sympathique, surtout que grâce à mon petit soutien qui me rendait mécène de leur album, j’ai reçu leur album, un poster et plein de petits mots gentils de leur part. Sympa, non ?
Ulule permet donc aux artistes de présenter leur projet et d’offrir aux contributeurs des contreparties intéressantes.
Le Tueur Sans Nom, c’est le 7ème livre produit par l’équipe de Mots et Cris, ceux que j’appelle ma Dream Team. Depuis le tout premier livre paru aux Éditions Michel Champendal, le pli a été pris de demander aux lecteurs d’aider aux frais d’impression du livre. Au temps de mon premier roman, Le roman de Marjolaine, il a fallu faire appel aux amis, à la famille, car mon lectorat n’existait pas.
Le roman de Marjolaine : début de l’aventure.
Puis sont arrivés les premiers livres en autoédition. Grâce à vous, mes lecteurs de la première heure, l’aventure a pu continuer. Un listing avec vos adresses a été dressé au fil des ans, des centaines de lignes sous excel, un tableau de folie, dont nous nous servions à peu près une fois par an lors des nouvelles parutions. Ce tableau devenait alors un gros tas d’enveloppes à remplir de bons de précommandes, et à timbrer. Je vous laisse imaginer le passage à la Poste ! 😉
Avec le nombre de lecteurs qui augmente, cette solution était de plus en plus difficile à mettre en œuvre. D’autant plus qu’avec la parution numérique de mes derniers romans, j’estime à 70% le nombre de lecteurs dont je ne peux pas récupérer les coordonnées. Difficile donc de vous contacter efficacement pour vous proposer les précommandes.
Et pourtant ! Je sais que vous appréciez ce système de précommandes qui vous permet de bénéficier d’un prix préférentiel à l’achat de mes nouveaux romans, et de me rencontrer lors du lancement du livre. Il fallait donc trouver une nouvelle solution…
Toute l’équipe a donc décidé de proposer le lancement du Tueur Sans Nom version papier sur Ulule. Cela ne nous permet pas forcément de toucher tous nos lecteurs (est-ce réellement possible ?) mais cela allège considérablement les contraintes d’un mailing.
Nous avons aussi remarqué qu’il est beaucoup plus simple pour vous (comme pour nous d’ailleurs !) de payer en ligne avec votre CB que de faire un chèque, une enveloppe et tout renvoyer dans les temps. Le temps des précommandes papier est donc terminé, place au numérique !
Le Tueur Sans Nom, version papier !
De mon côté, et cela intéressera peut-être mes amis auteurs, la prise en main d’Ulule est vraiment facile. Le projet doit être bien pensé en amont et être approuvé par l’équipe d’Ulule avant sa mise en forme définitive. Et en cas de souci, ou si on a besoin de conseils, l’équipe d’Ulule est vraiment à notre écoute.
Côté lecteurs, les contributions sont simples à effectuer et sécurisées. On a tous l’habitude de payer en ligne avec notre CB et Ulule propose un fonctionnement tout à fait classique pour ce genre de transactions.
Le principe original d’Ulule est de permettre aux contributeurs de recevoir un peu plus que ce qu’ils ont commandé. C’est pourquoi nous avons mis en place des contreparties qui, on l’espère, vous plaira.
Cela va du livre que vous payez moins cher, jusqu’au dîner au restaurant. 😉
Voilà bientôt deux semaines que le projet est sur Ulule. Et pour le moment, tout se passe bien puisque nous sommes déjà à 43% de notre objectif final. C’est donc plutôt bien parti, mais maintenant il faut que le bouche à oreille fonctionne et que ceux qui soutiennent ce projet en parlent autour d’eux. Surtout qu’il ne reste d’une vingtaine de jours pour atteindre la somme finale.
C’est pourquoi j’ai besoin de vous !
Pour précommander, bien sûr, mais aussi pour partager l’info sur vos réseaux. Rendez- vous donc sur la page du Tueur Sans Nom sur Ulule pour découvrir tout le projet, dont une vidéo qui vous fera sans doute sourire… 😉 Et à très bientôt pour des nouvelles de ce projet.
Non, ceci n’est pas une chronique pour un nouveau jeu de combat sur PS4… Sans rire, faudrait lâcher votre manette de temps à autre ! 😉
WattPad et Scribay sont des plateformes de publication de textes. Cela veut dire que sur ces plateformes, les auteurs peuvent laisser tout ou partie de leur œuvre. Morceaux de roman en cours d’écriture, nouvelles, essais, romans entiers, les possibilités sont nombreuses.
Se retrouvent donc sur ces plateformes des auteurs mais aussi des lecteurs. Le principe est simple : chacun peut lire ce qui lui plaît et laisser des commentaires et même des corrections.
La plus connue de ces deux plateformes, WattPad, est canadienne et cartonne aux USA. Plusieurs auteurs ont déjà été repérés sur WattPad et ont publié des best-sellers ainsi. Le côté donc déjà bien installé de cette plateforme est assez tentant.
Scribay est le pendant français de WattPad : c’est une plateforme récente, encore en cours de test (mais je n’ai rien vu comme dysfonctionnement pour le moment à part une petite difficulté à télécharger ma photo de profil), et dont la communauté est forcément moins étendue que celle de WattPad. Mais est-ce pour autant un point négatif ? Nous allons le voir ensemble…
Dimanche, il pleuvait. Oui, je sais, en ce moment on cherche le soleil et mon début de paragraphe est d’une banalité consternante. Après avoir tout de même fait l’effort d’aller balader ma bergère australienne en forêt, je suis rentrée mouillée, transie, et surtout avec une inspiration subite. Vite ! Il fallait que j’écrive…
Seulement, une idée me trottait dans la tête depuis un moment : j’avais envie de faire davantage participer mes lecteurs à la vie de mes romans. Mais comment ? L’écriture est une activité solitaire (oups, encore une banalité !), donc ce n’est pas à ce moment-là que vous pouvez intervenir. Mais vous demander de choisir la couverture du livre ou encore son résumé est trop restrictif. Alors ? Quoi d’autre ?
C’est à cet instant que j’ai repensé à une application que j’avais déjà vue : WattPad. J’ai donc décidé de me lancer dans l’écriture d’un roman et de le publier au fur et à mesure pour voir un peu la réaction des lecteurs. J’ai donc commencé par prendre en main la plateforme de WattPad.
Il faut le dire : la prise en main sur la plateforme est très simple. L’inscription se fait via Facebook et trois choix s’offrent à nous : on peut soit surfer et découvrir les textes des autres auteurs, soit créer son texte, soit s’intéresser à la communauté. Simple. Efficace. Orange. Assez spontanément, Wattpad me met en relation avec mes amis FB qui utilisent aussi cette plateforme. C’est plutôt cool. Mais quand je surfe un peu sur les textes d’inconnus, je m’aperçois assez vite que WattPad est envahi par beaucoup d’ado qui publient des fanfictions ou de la bit-lit. OK. Pourquoi pas ? J’avoue que si WattPad avait existé il y a 25 ans, je me serais régalée en postant mes écrits sur la plateforme !
Pour tester, je publie le premier chapitre de mon nouveau roman « La Solitude ».
Je comptais en rester là, et attendre un peu pour voir tout en lisant les textes des autres, mais Facebook est un petit rusé. De retour sur mon fil d’actualité, voici FB qui me propose d’aimer la page de Scribay. Ah ! Mais oui, c’est vrai ! J’avais déjà entendu parler de cette plateforme française qui propose a priori les mêmes services que WattPad. Pourquoi ne pas tester ?
Me voici donc sur Scribay, décidée à publier le même texte que sur WattPad afin de pouvoir faire une comparaison de ces deux plateformes.
L’inscription en ligne est tout aussi simple que sur l’autre plateforme : merci Facebook ! Je modifie mon profil pour y entrer les informations que je désire et je me trouve sur une interface qui me semble proposer un peu plus de choses que sur WattPad : écrire, lire, s’inspirer, découvrir, échanger. Si les deux premiers menus me parlent, ainsi que le dernier qui est tourné vers la communauté, Scribay m’interpelle directement avec « s’inspirer » et « découvrir ».
Je découvre très rapidement des textes de qualités, des auteurs qui me plaisent, et des défis à relever. Bref, en quelques clics, je trouve la plateforme plus complète que WattPad. Mais tiendra-t-elle la distance ?
Premier test live : la publication d’un de mes textes. Je copie/colle mon document word sur les plateformes sans souci. Je note que Scribay propose de faire une mise en page plus pointue que WattPad.
Durant les heures qui suivent, je guette les réactions de la communauté de ces deux plateformes. Sur WattPad, 2 lectures ont lieu, sans aucun commentaire. Sur Scribay, des annotations apparaissent sur mes textes, avec une bonhommie évidente, ainsi que des j’aime et des commentaires (plutôt sympa, en plus !). J’atteins rapidement la vingtaine de lectures, et le chiffre augmente régulièrement.
Je développe mon réseau, m’abonne quand les gens se sont abonnés à mon profil, vais chercher quelques autres profils. Mais sur WattPad, c’est difficile. J’ai du mal à trouver des textes qui me plaisent. Il y a des tonnes de fanfictions, de bitlit, de romans pseudo-érotiques, bref des lectures pour lesquelles j’ai un peu passé l’âge…
Du coup, je me rabats sur Scribay et clique sur le « découvrir » qui m’interpelait. Là, je peux entrer des préférences en terme de sujet, de longueur de texte, bref je trouve des textes qui m’intéressent ! Et je découvre que la communauté scribayienne est bien plus mature que celle de WattPad. On sent la présence d’auteurs qui s’exercent quotidiennement (des copains écriverons, quoi !) et de lecteurs pointus dans ce qu’ils aiment. Les critiques sont justes et me font avancer dans l’écriture des chapitres suivant de La Solitude.
Les commentaires continuent d’affluer et je poste un second chapitre, pour voir. Sur Scribay, les lecteurs continuent d’arriver, suivent, s’abonnent et aiment. Cool. Sur WattPad, cela ne prend pas. J’ai un commentaire d’une jeune fille qui aime en me disant « C’est vraiment triste ». Je suis contente de son commentaire mais ce n’est pas cela qui fait avancer l’œuvre. Or, ce que je cherche, c’est à communiquer avec mes lecteurs, crénom !
Communiquer avec l’équipe de la plateforme : Cela fait partie des points importants quand je fréquente un site. Je me dirige donc vers la partie communauté de WattPad, pour découvrir un site en anglais… Damned ! Pour communiquer, ça va être compliqué, même s’il existe une page Facebook qui semble plutôt sympa et active. Puis, j’avise un micro-menu déroulant sur Scribay qui me propose de laisser des suggestions pour l’amélioration de la plateforme. Même pas honte, je propose un truc ou deux, pour voir. Dans la journée, un administrateur prend en compte ma demande, me répond, bref un échange super sympa ! Je sais désormais que je peux compter sur l’équipe de Scribay en cas de problème, et pour un auteur qui publie ses textes en live, c’est important !
Du coup, je poste mes autres chapitres sur Scribay.
Au final, j’ai trouvé sur Scribay une vrai communauté de passionnés de la lecture et de l’écriture, communauté que je vous invite à rejoindre en cliquant ici. J’espère vous avoir convaincu de me rejoindre dans cette aventure car je cherche des lecteurs qui ont envie de découvrir mes prochains romans en avant-première, des lecteurs qui oseront laisser leur avis, donner des idées, bref faire vivre ces romans en cours d’écriture. Sans parler de tous les textes des autres auteurs qui vous aurez le plaisir de découvrir !
Et avant de nous quitter, n’oubliez pas de vous inscrire par mail à ma mailing-list pour recevoir de temps à autre des nouvelles et des cadeaux. C’est juste là, à droite 😉 —>
Vous devez sans doute vous dire qu’au bout du 7ème livre c’est beaucoup plus facile pour moi de le promouvoir. Ben… non ! N’ayant jamais reçu aucune formation en marketing, en publicité ou en communication, j’ai l’impression de sans cesse découvrir de nouvelles pratiques à mettre en place pour la promotion de mes livres.
Ça, faut bien l’avouer, c’est quand même super confortable ! Ayant eu la chance (oui, je considère cela comme une chance même si, aujourd’hui, je dois bien reconnaître que j’y regarderais à deux cinq dix cent fois si un éditeur venait à me contacter) d’avoir été éditée, je sais combien c’est agréable d’avoir peu de promotion à faire. Parce qu’on dira ce que l’on voudra, mais l’auteur n’est certainement pas son meilleur vendeur, à quelques exceptions près de ces auteurs « marchands de poissons » capables d’haranguer le lecteur pour vendre son dernier polar (ne riez pas, j’en ai connus et admirés sur le moment !).
Non, moi, à part tendre un flyer et le coin de mes lèvres dans un sourire, j’ai du mal à faire plus…
Lorsque je me suis lancée dans l’auto-édition, en 2010, j’ai dû mettre au point des solutions pour pouvoir contacter facilement mes lecteurs. Je me suis donc lancée dans une chasse aux adresses postales. Quelques centaines sont précieusement stockées dans mon ordinateur, récupérées pour la plupart sur les chèques que vous me laissez lors des salons du livre. Vous voilà prévenus ! Puis, une fois par an, un mailing est envoyé pour annoncer l’arrivée du nouveau livre papier. Oui, mais…
Il faut donc trouver autre chose pour avertir ma communauté de lecteurs assidus que j’adore (hop, un peu de pommade…LOL) que je sors un nouveau bouquin.
Les réseaux sociaux ont été, pour les auteurs indépendants, un véritable vivier de nouveaux lecteurs, même si cette affirmation est à prendre avec un bémol. Plus besoin de mailing postaux hors de prix puisque tous nos lecteurs se trouvent soudain réunis sur nos pages Facebook et nos comptes Twitter. Oui, mais…
Bref, les réseaux sociaux ne sont pas la panacée pour réussir à communiquer avec son lectorat et lui donner envie de lire.
En fait, au bout de six années d’auto-édition, je sais qu’il existe une façon sûre pour mieux diffuser mes écrits.
Elle a été testée (et approuvée !) par beaucoup d’auteurs, c’est la mailing-list. Oui, vous savez, le truc que je mets souvent à la fin de mes billets, où je vous propose de vous abonner… Mais si ! Ça :
Il est assez simple (quand j’y pense !) de récupérer lors de mes dédicaces vos adresses mails, et certains d’entre vous prennent l’initiative de s’inscrire directement sur ce blog. J’en profite pour préciser que seules les inscriptions par mail sont prises en compte pour le mailing et que je ne peux rien faire quand vous souscrivez avec votre blog WP pour me suivre (même si ça me fait plaisir de savoir que je suis dans votre Lecteur WP !) Donc, si jamais vous voulez découvrir les mailings, vous savez ce qu’il vous reste à faire ! 😉
Le mailing, c’est une solution simple et efficace pour communiquer avec son lectorat et surtout pour créer un lien privilégié avec lui. Du moins, c’est ce que j’essaye de faire avec ces tous premiers mails que j’ai envoyés et qui s’adressent à la fois à mes lecteurs mais aussi aux autres auteurs indépendants. De l’avis de tous ceux qui le pratiquent, c’est un bon levier pour aider à la promotion d’un livre. On va voir ça dans les semaines à venir…
Et bien, vous le savez déjà, je me lance sur YouTube pour communiquer d’une façon un peu décalée sur mon aventure d’écriveronne. Pour le moment, c’est beaucoup trop tôt pour juger de l’effet de ce nouveau média, mais en tout cas je m’y amuse beaucoup et mon petit doigt m’a dit que cela vous amusait aussi : c’est le principal !
En conclusion, c’est toujours très compliqué de promouvoir son propre livre. Je suis toujours tiraillée entre le trop et le trop peu. J’ai parfois l’impression de vous harceler et c’est généralement à ce moment que certains d’entre vous me disent « heureusement que tu le rappelles tous les jours, sinon j’aurais encore oublié d’aller télécharger ton nouveau livre ». C’est l’une des facettes de mon métier d’auteur que j’aime le moins, je l’avoue, mais c’est pourtant l’aspect le plus important si je veux qu’un maximum de lecteurs puissent avoir mon livre entre leurs mains.
Pour un auteur indépendant, la promotion représente (malheureusement pour moi !) 60% de son activité, ce qui, vous l’aurez compris, ne laisse que 40% pour l’écriture. C’est pourquoi il faut trouver de nouvelles voies, de nouveaux médias, de nouvelles façons de se faire connaître car, comme dans tout moyen de communication, les pratiques changent vite et il faut pouvoir s’adapter et être réactif.
Et vous ? Qu’en pensez-vous ? En tant que lecteur, à quelle fréquence supportez-vous d’être harcelé ? En tant qu’auteur, avez-vous mis en place d’autres stratégies ? La parole est à vous en commentaires…
Depuis ce matin, mon nouveau roman est en ligne sur Amazon. La mise en ligne a été très rapide hier puisqu’il a été accepté en moins d’une heure, à ma grande surprise. Bref, j’ai dû tomber sur un bon créneau horaire pour proposer mon livre ! 😉
Des familles entières sont assassinées dans la région parisienne et les flics sont sur les dents. Aucun lien ne semble les relier les unes aux autres, si ce n’est la façon particulière dont le tueur se débarrasse des enfants. Très vite, le lieutenant Karen Spergo soupçonne que l’enfance du psychopathe est liée à ces crimes horribles, mais parviendra-t-elle à lire son histoire dans le sang qu’il laisse derrière lui ?
Un bon gros polar dans lequel je me suis permis bien plus de choses que d’habitude… Oui, votre écriveronne s’est lâchée ! Au fil des ans, mon écriture a évolué et je sens que mes histoires aussi. Elles se noircissent… Enfin, ce n’est que mon avis, vous me donnerez le vôtre ! 🙂
Et à propos d’avis, voici quelques avis de blogueuses littéraires qui ont lu cet épisode en avant première.
Tribulations littéraires : « J’avais lu juste avant un policier avec comme personnage principal une femme lieutenant totalement clichée et ça m’a fait du bien de voir que là, oui Karen est une dure à cuire et en même temps il le faut bien vu son métier, mais que l’auteure n’a pas oublier aussi que c’est une femme qui a des projets et des envies et de voir qu’elle a préféré créer un personnage qui nous semble vraiment humain et pas une machine de guerre qui arrête tous les méchants de l’histoire. »
Sophie Songe : « L’enquête ne fait que commencer, et on a des sueurs froides… On sent que c’est le début d’un cercle infernal qu’il faut à tout prix arrêter. Se rapprocher du tueur, identifier son profil à partir du mode opératoire va devenir la tâche de Karen et une envahissante obsession. »
Les lectures de Blandine : « Un petit point sur le style de l’auteure qui est vraiment très agréable à lire. J’ai pris un réel plaisir pendant les quelques pages de ce premier épisode. »
Allez, j’espère que je vous ai ouvert l’appétit… Il est donc temps de vous jeter dessus ! Surtout que chacun des 4 épisodes ne sera qu’à 0,99€.
Dates de sortie des prochains épisodes :
Après quelques semaines de repos durant lesquelles je n’ai cependant pas lâché la plume, c’est avec plaisir que je vous retrouve pour partager avec vous un premier événement juste avant la rentrée : le Ray’s Day 2015. La Ray’s Day, … Lire la suite
C’est l’heure du bilan.
Samedi prochain, j’aurai le plaisir de remettre gratuitement Nouvelle Donne aux heureuses (ouaip, que des filles !) gagnantes du jeu des précommandes. Bravo donc à :
Grâce à vous, mesdames, mais aussi aux 51 autres fans qui ont précommandé mon nouveau roman, ce dernier sera livré mardi prochain, avec de beaux marque-pages. Tiens, je ne vous les ai pas montrés, ceux-là ?
Allez, rendez-vous samedi prochain au Bôcal à partir de 16 heures pour fêter tout ça !
Pendant ce temps, je commence à préparer de quoi faire une belle vitrine…
Oyé oyé !
C’est officiel : le lancement de Nouvelle Donne aura lieu dans la superbe boutique Le Bôcal à Argenteuil le samedi 20 juin à partir de 16 heures.
Venez chercher l’exemplaire que vous avez commandé et fêter ce bel événement avec la Dream Team et l’équipe du Bôcal ! On boira un p’tit coup, on discutera du livre, et vous repartirez sans doute avec un peu plus que votre livre… Mais chut ! Je ne peux pas vous dévoiler les surprises maintenant !
Alors, on se retrouve le 20 juin ?
Le Bôcal
130 Rue Paul Vaillant Couturier
95100 Argenteuil
Quel samedi ! Hier, la Dream Team s’est réunie pour boucler la maquette de Nouvelle Donne. De 14 heures à presque 23, nous avons travaillé sans relâche pour que le roman puisse partir chez notre imprimeur Copy Media d’ici quelques … Lire la suite
(roulement de tambour) Suite à la réception de mon courrier de ce matin, je vous annonce que l’heureuse gagnante du livre Nouvelle Donne est : Bénédicte G. de Meaux. Bravo madame pour être arrivée la 20ème des précommandes ! En … Lire la suite